L'âme libre
Le Voyage de l'Âme Libre
L'âme qui cherche sans chaînes est semblable à une étoile voyageuse, libre de tout ancrage, errant entre le silence et la lumière. Elle n’appartient à aucune doctrine, ne se soumet à aucune vérité figée, car elle sait que la liberté de l’esprit ne peut se tenir captive dans les murs du dogme. Aucune religion, sous quelque forme que ce soit, ne saurait être un guide sur ce chemin, car toute croyance instituée impose des frontières là où l’infini doit rester ouvert.
Le silence est son refuge, un espace où le tumulte du monde s’efface, où l’ego se dissout comme une goutte d’eau dans l’océan. Dans ce vide fertile, elle découvre que le véritable savoir ne s’enseigne pas, il se ressent. C’est l’instant où tout s’apaise, où l’univers ne demande rien d’autre que d’être.
Mais l’âme libre ne saurait se perdre uniquement dans le silence, car la lumière l’appelle aussi. Non pas cette lumière dictée par des textes ou des traditions, mais celle qui se manifeste par éclats, dans une brise qui caresse le visage, dans un regard échangé, dans un murmure du vent qui porte une vérité fugace. Elle est insaisissable, car elle n’existe que dans l’instant, et vouloir la retenir, c’est déjà la perdre.
Ainsi, la sagesse réside dans cette danse éternelle entre le vide et l’éclat, entre l’immobilité et le mouvement. Chercher la lumière dans les dogmes, c’est s’aveugler ; s’enfermer dans le silence sans accueillir l’inattendu, c’est s’éteindre. L’âme libre comprend que la vérité ne se trouve ni dans les livres sacrés ni dans les voix qui imposent un chemin, mais dans l’équilibre subtil entre l’abandon et la découverte.
Peut-être est-ce là le sens ultime du voyage : ne rien posséder, ne rien figer, ne suivre aucun maître, mais se laisser traverser par l’instant, comme le vent caresse la mer sans jamais l’emprisonner.
JAK_arT...
L’imaginaire
L’imaginaire… Cet océan infinie d'idées, de sensations et de visions qui naît au creux de notre esprit, mais échappe à toute logique rigide et formelle. Il est ce souffle intérieur qui transforme le monde visible en un théâtre insoupçonné, où les lois de la nature se plient aux caprices de nos pensées, où tout devient possible, même ce que la réalité nous refuse. L’imaginaire est cette voie secrète, cet espace intime que chacun porte en soi, un territoire mystérieux et indomptable où se glissent nos désirs, nos peurs, nos espoirs et nos rêves les plus fous.
Il y a une magie dans l'imaginaire qui nous dépasse. C’est une alchimie, un fil subtil qui relie le monde matériel à quelque chose de plus grand, de plus profond, que nous ne pouvons toucher, mais que nous sentons vibrer au plus profond de notre être. Dans nos rêveries, nous pouvons explorer des terres inconnues, dialoguer avec des ombres du passé ou anticiper des avenirs possibles. Nous pouvons aimer, revivre ou même réinventer la réalité. L’imaginaire n’a ni barrières, ni frontières, il est un champ d’évasion, une chance de nous retrouver et de nous réinventer.
Mais, de nos jours, combien d’entre nous écoutent vraiment leur imaginaire ? Alors que le quotidien nous absorbe, que la société nous dicte ses normes, ne risquons-nous pas de perdre cette étincelle intérieure, de la laisser s’éteindre sous le poids des habitudes, des obligations, des « réalités » qui nous étouffent ?
Et pourtant, quelle perte ce serait ! Renoncer à l’imaginaire, ce serait renoncer à une part de notre humanité, à cette faculté de regarder le monde avec les yeux d’un enfant, avec émerveillement et ouverture. Ce serait laisser mourir en nous cette flamme qui nous pousse à rêver, à créer, à croire en l’impossible. L’imaginaire est un refuge et une force, une arme silencieuse contre la monotonie de la réalité, une main tendue vers l’inconnu.
Alors, une question s’impose : Ecoutons-nous, vraiment, notre imaginaire ? Laissons-nous assez de place à cette part de nous qui aspire à s’épanouir, à grandir, à explorer ?
Le temps…
Le temps dévoile tout." Ainsi parle la sagesse ancienne, comme un murmure venu de loin, traversant les âges pour atteindre nos cœurs modernes. Mais que nous révèle-t-il vraiment, ce temps qui semble à la fois si proche et si insaisissable ?
Il glisse entre nos vies, silencieux et implacable, laissant derrière lui des traces d'instants frêles, des souvenirs dispersés. Le temps nous serre et pourtant, il s'étend, infini, au-delà de ce que nos yeux peuvent percevoir. Sommes-nous des passants fragiles dans un monde de l’éphémère, ou des fragments d’éternité projetés dans la matière, à la recherche d'un sens caché ?
Dans la danse infinie de l’univers, chaque étoile, chaque souffle, chaque battement d’aile semble résonner comme un rappel de l’immensité, comme si le cosmos lui-même portait en lui la mémoire du commencement. Mais nous, que faisons-nous de ce temps qui nous est prêté, de ce fragment d’infini ?
Peut-être que le temps n'est qu'un miroir, où se reflète le désir acharné de nos âmes de saisir l’éternité. Peut-être qu’il est un voile, que nous tentons de soulever pour entrevoir ce qui se trouve au-delà. Car, au fond, qu'est-ce que le temps, sinon la trace de notre passage éphémère dans l’immensité du Tout ?
Alors, en contemplant ce mystère, nous sommes laissés face à des questions qui résonnent dans le silence des étoiles : le temps nous accompagne-t-il ou nous emporte-t-il ? Et si, finalement, l'infini n'était pas au bout de notre route, mais niché dans chaque instant que nous vivons ?
La vie d’après
La vie après la mort est un mystère qui résonne au plus profond de nous, éveillant en chacun une quête d’éternité et de transcendance. Depuis des millénaires, les sages et les mystiques parlent d’un passage, d’un voyage de l’âme vers des dimensions invisibles, au-delà des frontières du monde. L'idée que la vie se prolonge au-delà du dernier souffle est un espoir universel, une luminescence qui éclaire le chemin même dans l’obscurité. Mais alors, une question nous traverse : si une partie de nous survit, est-ce notre essence véritable qui continue ?
Pour certains, l’âme se libère du corps pour s’unir à une source divine, retournant vers une lumière d’amour et de paix absolue. Pour d’autres, c’est à travers le cycle de la réincarnation que l’essence humaine, évolue, apprend, et se rapproche peu à peu de la vérité spirituelle. Dans cette perspective, la vie après la mort n’est plus une fin, mais une transformation, une continuité dans le voyage infini de l’âme. Et si cette existence actuelle n'était qu'un passage ?
Ces réflexions éveillent en nous une question très personnelle : si la mort n’est pas une fin mais une continuité de l'existence, comment devrions-nous vivre notre vie sur terre ? Nos actions, nos pensées et nos choix deviennent alors des messages d’une profondeur nouvelle. Chaque expérience terrestre se charge d’un sens sacré, car elle prépare l’âme pour le prochain état de conscience, le prochain souffle spirituel.
Chercher à comprendre la vie après la mort, c’est aussi embrasser le mystère du présent. C’est une invitation à vivre en pleine conscience, à nous relier à notre essence intérieure, et à percevoir la vie comme un flux, une énergie en mouvement entre visible et invisible. Ainsi, la question se pose à chacun de nous : et si la vie éternelle n’était pas un lieu, mais une vibration ? Une qualité de présence que l’on peut toucher ici et maintenant, si l’on ouvre notre cœur au-delà des limites de l’instant ?
Peut-être que la réponse à ce mystère réside en chacun de nous, dans cette quête de lumière et de sens qui nous pousse à aller au-delà des apparences. Car si la vie après la mort existe, elle nous invite avant tout à vivre ici avec amour, dans l’authenticité de notre être profond, en paix avec le mystère de notre destinée spirituelle.
Alors, si la vie après la mort est un passage vers une dimension où l’âme retrouve sa pureté, sa véritable essence, cela nous conduit à une réflexion profonde : comment vivre aujourd'hui pour préparer ce voyage ? Si chaque pensée, chaque acte, chaque souffle sont des graines que nous semons pour l’au-delà, avec quel soin devons-nous cultiver notre vie présente ? Peut-être que la paix, l’amour, et l’authenticité que nous bâtissons ici deviennent le pont vers cet autre monde, une offrande que nous emportons en nous.
À travers chaque défi, chaque moment de joie ou d’épreuve, la vie nous offre l’opportunité de nous rapprocher de cette lumière intérieure, de préparer notre âme à s’élever. Et c’est là qu’une question fondamentale se pose à chacun de nous : que comptes-tu faire, dans ta vie ici-bas, pour marcher vers cette harmonie ? Pour vivre de manière à honorer, dès maintenant, la vie qui t’attend au-delà ?
Les pensées positives
"En philosophie, la pensée est souvent opposée à la volonté et au sentiment. La pensée est définie par Platon comme un dialogue de la raison avec elle-même. Elle est pour Descartes « tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l'apercevons immédiatement par nous-mêmes ». Elle est donc un synonyme possible de la conscience."
Pendant mes jeunes années, je confondais mes pensées avec mes rêves éveillés.
Souvent, on me demandait d'arrêter de rêver, de faire face à la réalité.
On me demandait d'arrêter d'être moi !
À ce jour, mes pensées occupent mon esprit en permanence et finissent parfois par me perdre dans l'instant.
Mais elles nourrissent ma créativité, mon analyse, ma réflexion. Elles éveillent chez moi les émotions qui me définissent en tant qu'être.
Notre conscience nous fait grandir émotionnellement, elle nous apprend à équilibrer notre corps avec notre esprit.
Des chercheurs ont montré que les pensées négatives sont associées négativement avec le bien-être psychologique comme le bonheur (Lightsey, 1994). Sur les 97 étudiants volontaires, 55,67 % ont des pensées négatives et 83,51 % ont des pensées positives.
Et toi, comment sont les tiennes ?
Avoir des pensées positives n'est pas toujours facile. La vie nous confronte avec des événements qui nous font osciller de la joie à la colère.
Finalement ces pensées occupent une place importante en chacun de nous.
Elles jouent un rôle déterminant sur nos actions à venir et nous apprennent à faire des choix.
Dis-moi, as-tu une idée sur ce que deviennent nos pensées ?
Sont-elles des parties de nous qui se fondent dans l'espace ?
Ou penses-tu qu'elles meurent en nous ?
Pour moi, elles deviennent éternelles et se fondent dans l'immensité intemporelle.
Les pensées s'installent dans notre âme et occupent un espace essentiel dans celle-ci.
Tu as la place en toi pour construire des pensées positives, pour transformer des actions négatives en positives.
La possibilité de charger l'espace d'ondes positives.
Nos actions sont les fruits de nos pensées. Nos émotions, nos ressentis guident ces pensées en produisant le positif ou le négatif.
Lorsque je regarde autour de moi, je vois ce monde en perpétuel mouvement. Il devient incontrôlable et tellement sûr de lui. Mais que représente-t-il dans la galaxie, quel impact a-t-il sur l'infini ?
Sommes nous des pièces isolées de tout ? Ou faisons-nous partie de cet ensemble ?
La pensée positive reste certainement une perspective honorable pour donner un sens à la vie et aux valeurs qu'elle représente.
Si je pense beau, je verrai beau, mon espace de vie sera beau et mon après résonnera positivement.
Penses-y...
Une belle âme
On dit, que le regard est le reflet de l'âme.
Cicéron a dit, "si le visage est le miroir de l'âme, les yeux en sont les interprètes".
Quand j'étais enfant, je n'arrivais pas à pleurer devant la mort d'un proche, pourtant mon état d'esprit était triste. Alors devant le miroir, j'essayais de me faire pleurer pour que l'on ne me juge pas trop sévèrement. Mais je n'y arrivais jamais, de ce fait, j'allais me réfugier dans mon univers préféré, la rêverie. Juste histoire d'y retrouver le proche disparu et de parcourir un petit bout de chemin avec lui.
Les statistiques disent que c'est avant 21ans que la perte d'un parent est la plus difficile. Qu'après il semblerait que l'impact émotionnel est un peu moins fort. Que le cœur se durcit face aux événements.
Et toi, tu as beaucoup pleuré dans ta jeunesse ?
Après tout c'est assez normal de signaler sa tristesse avec des larmes, puis c'est courageux de laisser parler son cœur. Tu n'es pas responsable, bien au contraire. Tu réagis de cette façon, car cette action, provient d'un état d'âme.
T'es-tu déjà demandé, ce que devient l'âme, une fois que l'enveloppe terrestre devienne poussière?
Les émotions liées à la tristesse, ne se définissent pas uniquement avec les larmes.
C'est d'abord une question de ressenti intérieur, quelque chose de non palpable, et avec lequel, il est impossible de tricher. Pleurer sans en ressentir le besoin, n'est autre qu'une action théâtrale.
C'est une sorte de manipulation intellectuelle et émotionnelle envers soi-même et également envers les autres.
Pour être vrai, il faut d'abord ne pas chercher de public, ni d'utiliser des artifices pour simuler.
Laisser parler le cœur, avant le cerveau.
Être une belle âme, c'est offrir notre vérité à nous-même. Le chemin de vie terrestre, nous offre l'opportunité de nous charger en d'énergie positive, d'être vrai et de transmettre à notre âme une vie lumineuse dans un avenir Intemporel.
Il est toujours temps pour se reprendre en main, si tu te sais mauvais esprit, un peu larme de crocodile. Il te faut te regarder dans le miroir et ne cherche pas à contrôler ton reflet.
Tu es face à toi, et ton âme te regarde avec le cœur, efface les choses que tu as un peu de mal à regarder dans ce miroir. Corrige les si tu en as la possibilité.
Rétabli une vérité.
Notre société vas mal, notre environnement suffoque.
Qu'adviendra t'il des âmes négatives ?